Vienneredevient la ville la plus agréable du monde. La capitale autrichienne succède à la ville d’Auckland et devance Copenhague et Zurich. Paris se place en 19 e position de ce classement
Si vous cherchez une destination sûre pour vos vacances, ces 15 villes les plus dangereuses du monde sont à déconseiller. Notamment en raison de leur criminalité. Pour des vacances en famille, comme pour des voyages d’affaires, il est toujours utile de se renseigner sur la situation du lieu que vous vous apprêtez à visiter. Si vous êtes à la recherche de quiétude et de sécurité, le continent à absolument éviter est l’Amérique du Sud. En effet, chaque année, l’Amérique du Sud est largement représentée dans le classement des pays et villes les plus dangereux au monde. Des derniers chiffres, publiés en mars 2018 par l’organisation citoyenne mexicaine Consejo Ciudadano para la Seguridad Pública y la Justicia Penal, il ressort que 25 sur les 50 villes répertoriées comme les plus dangereuses sont situées en Amérique du Sud. L’Amérique centrale vient juste après, avec 16 villes répertoriées. L’Europe ne compte, quant à elle, aucune ville dans le classement. Le Brésil et son grand nombre d’homicides Plus particulièrement, c’est le Brésil qui bat tous les records, avec 17 villes classées dans ce triste top. Il est suivi par le Mexique avec 12 villes, le Venezuela 5 villes, les États-Unis 4 villes, la Colombie 3 villes et l’Afrique du Sud 3 villes. Les pays et îles des Caraïbes ne sont hélas pas non plus oubliés du classement, puisque 5 villes y figurent. Le classement que nous allons vous présenter se base sur le nombre absolu d’homicides survenus tout au long de l’année 2017 ainsi que sur le ratio nombre de meurtres/population totale de la ville. Mais le Brésil, la Colombie, le Mexique et le Venezuela sont aussi connus pour leur nombre affolant d’enlèvements chaque année. Même s’il est à noter que la criminalité en Colombie s’est réduite de façon significative depuis la signature du nouvel accord de paix entre le gouvernement et les FARC, en novembre 2016. Voici donc les 15 villes les plus dangereuses au monde, par ordre croissant. Vous pourrez le constater par vous-même, ce sont des lieux paradisiaques où il y a mer, plage et soleil. Détrompez-vous, ces villes ne sont pas franchement propices à des vacances… ou à vos risques et périls. 15. Le Cap, Afrique du Sud © iStock Océan Atlantique, baies, ports et montagnes, climat méditerranéen 17 à 28 degrés en fonction des saisons, eau à 20 degrés… Un vrai décor de carte postale. Pourtant, Le Cap a vu, en 2017, homicides se produire sur son territoire. Ramené sur une population totale de plus de 4 millions d’habitants, cela donne un taux d’homicide de 62,25 calculé sur habitants. Ce qui n’est pas rien. On est loin des 854 meurtres recensés en Belgique en 2017 par la police fédérale. Sa population est en grosse majorité âgée de moins de 65 ans et l’âge moyen est de 26 ans seulement. Les habitants du Cap sont principalement métis coloured », avec également une petite minorité blanche et une large minorité noire. Le Cap est la capitale législative de l’Afrique du Sud, aux côtés de Pretoria, qui est la capitale administrative, et de Bloemfontein, qui est la capitale judiciaire. La ville est également considérée comme la cité-mère du pays, celle qui l’a vu se fonder. Le plus gros problème du Cap est la pauvreté de la population, les grandes inégalités de revenus entre les classes sociales et un important exode rural qui crée des bidonvilles et attise la colère des populations locales. La criminalité meurtres, attaques à main armée, viols, car-jacking et autres crimes est devenu un débat politique majeur dans toute l’Afrique du Sud post-apartheid 1994. Mais ce sont les chiffres du Cap occidental et du Cap oriental qui explosent les statistiques nationales dans le domaine. 14. Maceió, Brésil © iStock De nouveau, le cadre est idyllique, et pourtant Maceió renferme un taux de criminalité très élevé. En 2017, l’organisation mexicaine Consejo Ciudadano para la Seguridad Pública y la Justicia Penal a recensé 658 homicides. Vous pourriez penser que cela est encore acceptable », mais ce chiffre est à mettre en perspective par rapport à la population, qui est d’un peu plus de 1 million d’habitants. Ce qui équivaut à un taux d’homicide de 63,94 sur habitants. La situation est critique en dix ans de 2002 à 2012, le nombre d’homicides a augmenté de plus de 180% et continue encore aujourd’hui son évolution dans le mauvais sens. Chaque nuit, la police militaire doit y faire des descentes, lourdement armée, dans les quartiers pauvres favelas, à la recherche d’armes et de drogues. Généralement, cela finit mal pour près de deux personnes. Le problème est lié à la pauvreté plus de la moitié de la population y vit sous le seuil de pauvreté et le partage des ressources très inégalitaire dans tout le pays. Maceió est la capitale de l’État de l’Alagoas. Elle est située sur la côte est du Brésil, à environ kilomètres de Rio de Janeiro et de Brasilia, la capitale. Touristiquement parlant, elle est connue pour ses plages de sable fin, donnant sur l’océan Atlantique, sa nature et ses parcs régionaux ainsi que sa magnifique architecture datant de l’époque coloniale. Mais ne vous y méprenez pas, elle n’a rien d’une destination de vacances sûre. 13. Saint-Louis, États-Unis © iStock Saint-Louis est une ville portuaire et la deuxième plus grande zone urbaine de l’État du Missouri, aux États-Unis. Elle compte un peu plus de habitants. Selon l’étude du Consejo Ciudadano para la Seguridad Pública y la Justicia Penal, 205 homicides ont été enregistrés l’année dernière. Autrement dit, un taux de 65,83 sur habitants. Alors que la ville concentre les sièges sociaux de nombreuses grandes entreprises Anheuser-Busch, Nestlé Purina PetCare, Boeing Defense, Space & Security, Monsanto, Rent A Car, notamment et d’autres usines de divers secteurs, elle souffre d’un manque d’emplois et d’une pauvreté alarmante de la population. Mais la principale raison à cette criminalité fortement élevée est sans doute liée à la présence de gangs et au marché très lucratif de la drogue sur place. En 2010, Saint-Louis avait même été désignée comme la ville la plus dangereuse des États-Unis, selon une étude nationale basée sur les données démographiques et les statistiques sur la criminalité venant du FBI. Derrière Camden New Jersey, Detroit et Flint Michigan. 12. Culiacán, Mexique © iStock Culiacán est la capitale et la plus grande ville de l’État de Sinaloa et également la quinzième plus grande ville du pays. Elle se situe à l’ouest du Mexique. Surnommée la ville aux trois rivières », elle est une importante ville agricole à la confluence de rivières. La ville et sa région ont une activité agricole importante, qui fournit une grande partie de l’Amérique en légumes tomates, piments, poivrons et aubergines, essentiellement. Mais ne vous y méprenez pas, Culiacán n’a rien d’un village tranquille. En 2017, 671 homicides se sont produits sur son sol. Ramenés sur la population totale de la ville mexicaine, qui est d’un peu plus de habitants, cela équivaut à un taux de meurtres de 70,1. 11. Vitória da Conquista, Brésil © Facebook/Gó Lucas Alencar 22 degrés en moyenne toute l’année, peu de précipitations, Vitória da Conquista semble la ville parfaite pour des vacances exotiques au soleil. En plus, elle se trouve proche de l’océan Atlantique. Plus précisément, c’est une petite ville de l’État de Bahia, à l’ouest du Brésil. Mais la ville est aussi et surtout connue pour être l’une des plus dangereuses au monde. S’il n’y a eu en 2017 que » 245 meurtres, il convient de noter que la population est seulement de habitants… Ce qui équivaut à un taux d’homicide de 70,26 pour habitants. 10. Belém, Brésil © iStock À Belém, il y a eu homicides sur toute l’année 2017. Ramenés sur une population totale de près de 2,5 millions d’habitants, cela donne un taux de 71,38 pour habitants. La ville est pourtant touristique et réputée pour ses zoo, safaris et parcs. Belém est située dans l’estuaire de l’Amazone, dans le nord du Brésil. De par sa localisation, elle jouit d’une faune et flore luxuriantes. Elle est d’ailleurs surnommée la Cité des Manguiers » ou Cidade das Mangueiras », en portugais, pour ses très nombreux arbres à fruits qui bordent ses rues. 9. Ciudad Guayana, Venezuela © iStock Ciudad Guayana est une ville de l’État de Bolívar, au sud-est du Venezuela. Elle est traversée par le Caroní, une rivière majeure du bassin de l’Orénoque. Elle est connue pour ses parcs splendides, tels que la Llovizna et le Cachamay. Mais même si elle est la quatrième ville du pays sur le plan économique grâce à sa production de fer, d’aluminium et d’électricité, surtout, elle est également dans le top 10 des villes les plus dangereuses du monde. Sur toute l’année 2017, il y a eu 728 meurtres. Ramené sur une population totale de plus de habitants, cela donne un taux de 80,28. 8. Ciudad Victoria, Mexique © À Ciudad Victoria, il y a eu 301 homicides sur toute l’année 2017. Ramené sur une population totale d’environ habitants, cela donne un taux de 83,32 sur habitants. Ciudad Victoria est la capitale de l’État de Tamaulipas, à l’ouest du Mexique. Elle n’est pas très loin de Matamoros, une ville située dans le même État, à la frontière avec les États-Unis, et qui est ravagée par la guerre des cartels de la drogue. 7. Fortaleza, Brésil © iStock Fortaleza est la capitale du Ceará, État du nord-est du Brésil. Elle est située le long de la côte atlantique et comprend 34 km de plages. Elle est donc célèbre pour ses plages de falaises rouges, de palmiers, de dunes et de lagons. Très populaire des touristes du monde entier notamment grâce au plus grand parc aquatique du Brésil qu’elle renferme le Beach Park, elle respire également la culture et possède un paquet de théâtres, cinémas, bibliothèques, musées et autres espaces culturels. En 2014, Fortaleza faisait même partie des douze sites qui ont accueilli la Coupe du monde de football au Brésil. Mais hélas, la ville est aussi connue pour la présence de ses gangs violents qui contrôlent ses quartiers et les heurts fréquents avec la police. En 2017, il y a d’ailleurs eu homicides sur l’année. Ramené sur une population totale de plus de 3,9 millions d’habitants, cela donne un taux de 83,48 sur habitants. 6. La Paz, Mexique © iStock À ne pas confondre avec la capitale de la Bolivie, du même nom. La Paz est aussi la capitale de l’État de Basse-Californie du Sud, tout à l’ouest du Mexique. Elle offre un cadre idyllique, entre mer et désert. Elle est ainsi connue des touristes américains, canadiens et européens pour ses plages préservées et ses étendues de cactus. Mais l’étude de l’organisation mexicaine recense tout de même 259 homicides, qui ont eu lieu sur son territoire en 2017. Comme la population totale n’est que d’un peu plus de habitants, cela donne un taux élevé d’homicides 84,79 sur habitants. Le crime organisé y a gagné du terrain ces dernières années. En décembre 2017, six cadavres ont d’ailleurs été retrouvés pendus à des ponts sur des routes menant à l’aéroport. Les experts estiment que les organisations criminelles, comme le puissant cartel de Sinaloa et celui de Jalisco Nouvelle Génération, se disputent les marchés de la drogue pour les touristes ainsi que les itinéraires permettant d’acheminer la drogue vers les États-Unis. 5. Tijuana, Mexique © iStock Tijuana se situe dans le même État mexicain que La Paz, en Basse-Californie du Sud, mais à kilomètres au sud. La ville est limitrophe au comté de San Diego en Californie. Côtière, elle est aussi connue pour ses plages et son climat méditerranéen. Mais ce n’est pas une destination pour des vacances sûres. Les cartels de drogue y sont monnaie courante puisque la ville est l’un des principaux points de passage des drogues du Mexique aux États-Unis, premier client mondial de la cocaïne. Les gangs s’y livrent des guerres de rivalité entre eux, mais aussi avec la police. Selon les chiffres de l’étude, il y a eu, en 2017, meurtres. Ramené sur la population totale, qui équivaut à près de 1,9 million d’habitants, cela donne un taux de 100,77 sur habitants. 4. Natal, Brésil © iStock Natal est une ville côtière de l’est du Brésil et la capitale de l’État du Rio Grande do Norte. Elle a été fondée le 25 décembre 1599, d’où son nom tiré du latin Natale » qui signifie Noël ». Mais l’ambiance n’est pas franchement à la fête, puisqu’il s’agit de la quatrième ville la plus dangereuse du monde. Même si elle est portée par l’industrie du tourisme, la violence y est monnaie courante. Des gangs y contrôlent d’ailleurs l’insurrection urbaine depuis leur prison. Selon les chiffres de l’étude, il y a eu homicides recensés en 2017. Ce qui équivaut à un taux de 102,56 sur base d’une population totale de 1,3 million d’habitants. 3. Acapulco, Mexique © iStock Acapulco est une ville balnéaire située sur la côte pacifique ouest du Mexique. C’est probablement la plus belle ville de ce classement. Elle se trouve en plein milieu d’une baie et est connue pour ses plages, son eau turquoise, ses falaises et criques parfaites pour la plongée, ses hôtels de luxe et sa vie nocturne très animée. Elle a longtemps été la destination préférée des stars d’Hollywood et de nombreux touristes du monde entier. Mais le climat de violence qui y règne a fait fuir les vacanciers. Autrefois surnommée la perle du Pacifique », Acapulco est devenue la ville la plus dangereuse du pays et la troisième ville la plus dangereuse au monde. Une dizaine de cartels y sont en guerre pour le contrôle de ce port stratégique. Selon l’étude, 910 homicides ont été enregistrés sur l’année 2017. Sur base de la population, qui est de près de habitants, le taux d’homicide est de 106,63. 2. Caracas, Venezuela © iStock Si l’on ne prenait en compte que le nombre absolu d’homicides, sans le mettre en perspective par rapport à la population totale, Caracas figurerait en première position du classement des villes les plus dangereuses. En effet, en 2017, meurtres ont été recensés, en tout cas officiellement. Mais la population de la ville vénézuélienne est immense en 2017, au moment de la réalisation de l’étude. En perspective, cela donne donc un taux de 111,19. Située tout au nord du Venezuela, Caracas est la capitale et la plus grande ville du pays. Elle se trouve au creux d’une vallée, entourée de montagnes. La ville est très vivante et est connue pour ses nombreux parcs, musées, théâtres, monuments et autres sites touristiques. Le pays ne parvient toutefois pas à se sortir de la crise, qui est à la fois sociale, économique et politique. Si le Venezuela jouit de nombreuses ressources naturelles, comme le pétrole, il est également marqué par une pénurie alimentaire et de médicaments, une explosion de la corruption et de la criminalité. 1. Los Cabos, Mexique © iStock Los Cabos est la ville la plus dangereuse au monde, à cause de son taux d’homicide record 111,33 sur habitants. Sur toute l’année 2017, ce ne sont toutefois que » 365 meurtres qui ont été enregistrés officiellement. Mais la population totale de la ville n’était, au moment de la réalisation de l’étude, que de habitants. Soit 3,6 fois moins que la population de Bruxelles, qui était de 1,19 million d’habitants fin 2017. Los Cabos est une municipalité mexicaine du sud de la Basse-Californie du Sud, État où l’on trouvé également La Paz et Tijuana qui sont dans le classement des villes les plus dangereuses au monde. C’est aussi un lieu somptueux où le désert et la mer se rencontrent. Plages de sable fin, eaux cristallines, rochers et cactus… Le décor semble tout droit sorti d’une carte postale. Mais ce n’est ps vraiment le cas quand vous y êtes… Pour poursuivre votre lecture, nous vous conseillons cet article sur les 15 villes les plus sûres du monde ici.
Cranves- Sales , Capitale du Monde ! 387 J’aime. CRANVES SALES !!!!
J'attends les réponses Indice c'est en Amérique du sud Amérique du Sud la Paz. La capitale de la Bolivie culmine à 3 660 mètres d'altitude. A cette hauteur, la Paz ne fait pas qu'être la capitale la plus élevée d'Amérique du Sud, mais du monde. Et une ddb pour le vdd Le 26 mars 2019 à 185328 ManuHollande a écrit Amérique du Sud la Paz. La capitale de la Bolivie culmine à 3 660 mètres d'altitude. A cette hauteur, la Paz ne fait pas qu'être la capitale la plus élevée d'Amérique du Sud, mais du Victime de harcèlement en ligne comment réagir ?
voici kinshasa la capitale la plus sale du monde, est bandalugwa est l’une de commune la plus rapproche du centre ville urbanise par le belge. mais malheureusement on retrouve plus d’1 tonne de dechet tout les l’on du boulvard roi baudoin si historique, aujourd’huit ne ce pas que somme nous fiere de ça? expose de plusieures maladie telque les
Le Salon Al Omrane Expo Marocains du Monde 2022 s’est ouvert, vendredi à Paris, afin de présenter les projets immobiliers et les nouvelles offres des différentes sociétés filiales du groupe aux membres de la communauté marocaine établie dans la capitale française et sa région. Ce Salon, qui se poursuit jusqu’à dimanche, est marqué par la participation de quatre sociétés filiales du groupe Al Omrane représentant respectivement les régions de Rabat-Salé-Kénitra, Casablanca-Settat, Souss Massa et Marrakech-Safi, en plus de la succursale de Paris. La première journée de cet événement a connu une forte affluence des membres de la communauté marocaine de la capitale et de sa banlieue désireuse de prendre connaissance de l’évolution de l’offre immobilière du groupe Al Omrane dans les différentes régions du Royaume. Cette nouvelle édition 2022 du salon Al Omrane Expo Marocains du Monde » s’inscrit dans le prolongement de la politique d’ouverture et de proximité du Groupe, consacrant son engagement pour une production de qualité, utile et conforme aux attentes des citoyens marocains à l’étranger, a déclaré à la MAP le directeur de la succursale parisienne du groupe, Adil Mazhoum. Le Groupe Al Omrane s’inscrit dans la droite ligne des Orientations Royales et des politiques gouvernementales plaçant les Marocains du monde au centre de ses priorités et de sa stratégie à travers plusieurs actions organisées par le groupe aux niveaux national et international, a-t-il expliqué. Ces actions constituent des moments forts de rencontre avec cette communauté à travers les différentes manifestations du groupe notamment le Roadshow, organisé de 2013 à 2018 à l’étranger et rebaptisé en 2019 Salon Al Omrane EXPO MDM et qui a permis de toucher plus de Marocains du Monde dans 4 continents et de visiter plus de 45 villes à travers plus de 55 étapes , a-t-il rappelé. Cet événement international a pu confirmer un positionnement de plateforme incontournable du groupe pour la promotion de ses produits dans leur diversité et des opportunités d’investissement dans l’immobilier qu’offrent ses différents programmes d’aménagement foncier notamment au niveau des villes nouvelles et des pôles urbains réalisés sur plusieurs parties du territoire national, a indiqué M. Mazhoum. Après la France, une deuxième étape est prévue à Madrid du 10 au 12 juin prochain.
Lesinnovations technologiques se multiplient dans le monde entier. Certaines villes se modernisent de façon extrême. Voici les 10 villes les plus high-tech. Au fil des années, les villes se développent de plus en plus. Il y a de très bonnes raisons à cela puisque, selon une étude de l’OMS, deux tiers de la population
Quand elle a légalisé le commerce du sexe, en 2001, l'Allemagne espérait améliorer les conditions de travail des prostituées et freiner le trafic d'êtres humains. Douze ans plus tard, le bilan est plus que mitigé. Et les femmes qui vendent leurs services sexuels à Berlin, Bonn ou Cologne gagnent de moins en moins cher, pour un travail de plus en plus pénible. Le modèle allemand est-il un exemple à suivre? Question d'actualité, alors que la Cour suprême du Canada doit se prononcer, d'ici au printemps, sur ce qu'on appelle le plus vieux métier du monde. Mis à jour le 6 oct. 2013 Au début, c'était un conte de fées qui a tourné au cauchemar. Puis, un cauchemar qui s'est transformé en conte de fées. La protagoniste se présente sous le faux nom de Kristina. Si elle ne veut pas révéler sa véritable identité, c'est qu'elle a peur pour elle-même, mais aussi pour sa famille, là-bas, en Roumanie. C'est dans sa petite ville roumaine que Kristina a un jour croisé un homme bien baraqué, habillé en Hugo Boss et en Calvin Klein». Il avait 31 ans, elle, 19. Il lui a proposé le mariage, des enfants. Mais avant, un boulot à l'étranger, question de démarrer leur vie familiale du bon pied. Kristina a dit oui. C'est dans un bordel espagnol qu'elle a compris en quoi consisterait son travail. J'avais seulement 19 ans, j'étais une enfant.» Deuxième arrêt, Neunkirchen, en Allemagne, où Kristina atterrit dans une maison close avec une cinquantaine d'autres Roumaines. Les clients paient 50 euros pour une séance de 20 minutes. Elle doit en satisfaire plus de 10 par jour. Mais à la fin de la journée, il lui reste à peine 15 euros. C'est son amoureux, ou loverboy, qui encaisse le reste. Elle aurait aimé choisir ses clients, mais le loverboy veut de plus en plus d'argent. Alors, c'est le défilé d'hommes soûls, sales, furieux parce qu'ils ne parviennent pas à leurs fins et qu'ils la tiennent responsable de leur impuissance. Après six mois, j'étais détruite, pas seulement mon corps, mais aussi ma tête. J'étais comme un objet, comme cette tasse dans laquelle on boit.» Le conte de fées s'est présenté sous les traits d'un jeune homme venu avec un copain qui célébrait son anniversaire au bordel de Kristina. Il est tombé amoureux. Il a convaincu la jeune femme de fuir le bordel. Et, fait rarissime, de poursuivre le loverboy pour exploitation sexuelle. Un métier comme un autre? En 2001, l'Allemagne a complètement légalisé la prostitution. L'interdiction qui pesait sur la promotion des services sexuels a été levée. Ce qui reste illégal, c'est l'exploitation des prostituées. La réforme était aussi censée "normaliser" la profession. Dorénavant, imaginait-on, les prostituées signeraient des contrats de travail, paieraient des impôts, bénéficieraient d'une assurance médicale, et pratiqueraient leur métier en toute liberté. Mais comme le montre l'exemple de Kristina, ce scénario n'a pas eu lieu. Au contraire, cette libéralisation a attiré vers l'Allemagne de plus en plus de prostituées, et de plus en plus de clients. Avec l'ouverture des frontières européennes à la Roumanie et à la Bulgarie, une vague de prostituées venues de l'Est a déferlé sur le pays. Résultat les prix ont baissé. Les prostituées qui facturaient 50 euros l'heure n'en demandent plus que 20. Et la vaste majorité n'a ni contrat de travail ni assurance médicale. La réforme a été portée par des mouvements de prostituées allemandes, qui affirment que leur corps leur appartient et qu'elles sont fières de leur travail», dit Barbara Filipiak, de l'organisme Aldona, qui vient en aide aux prostituées de Sarrebruck, dans le sud-ouest de l'Allemagne. C'est là que nous avons rencontré Kristina, qui suit aujourd'hui une formation de vendeuse dans un magasin de chaussures. La réforme a été une utopie, tranche Barbara Filipiak. C'était conçu pour un groupe très marginal. Mais l'univers de la prostitution ne fonctionne pas comme les politiciens se l'imaginent.» Travailleuses autonomes? Sarrebruck est une ville de 160 000 habitants, avec une université, une rivière, des cafés, 1000 prostituées et une centaine de bordels. Au Sex Kino, en plein centre-ville, les filles en sous-vêtements microscopiques attendent l'arrivée du prochain client. Une lumière blafarde émane des écrans où se déroulent des scènes de fellations. Dans la Nauwieser Strasse, à 100 m de l'hôtel de ville, des prostituées sont penchées à la fenêtre, elles se font les ongles en racolant les passants. Le site web du Geizstall, bordel du quartier Burbach, promet des expériences érotiques et un buffet froid». Au menu 10 filles, 24 heures sur 24, avec bière gratuite, aires de jeu et quelques chambres... Pour 80 euros, tu peux avoir toutes les girls que tu veux», précise l'annonce. Le Geizstall, c'est un bordel à tarif unique, une mode qui s'est répandue en Allemagne au milieu des années 2000. Et qui a contribué à faire baisser les prix. Thomas est un peu le roi des bordels de Sarrebruck. Il a exploité, pendant quelque temps, un de ces clubs à tarif fixe. Mais il a déchanté Ce qui rapportait 250 euros autrefois n'en rapporte plus que 50 aujourd'hui.» Les premières perdantes sont les femmes. Comme Nicole, qui a déjà servi des clients pour 3,50 euros la passe avec cette formule. Des hommes stimulés au Viagra, qui voulaient en avoir pour leur argent. Elle pouvait en passer 30 en une journée. Théoriquement, ces femmes sont des travailleuses autonomes. Mais le modèle économique» des bordels fonctionne comme suit, selon Thomas Une femme fait 150 euros dans une journée, son "loyer" lui en coûte 70, le Roumain en prend 60, il en reste 20...» On est loin de la femme autonome-maîtresse-de-son-corps et de sa vie... Ce modèle, c'est quelque chose en quoi les gens voulaient croire, mais ça n'a pas marché", dit Cordula Meyer, journaliste à l'hebdomadaire Spiegel, qui a publié une grande enquête sur l'impact de la légalisation. Justice impuissante Théoriquement, l'exploitation des prostituées et le trafic humain restent illégaux. Mais comment les prouver? Les filles disent qu'elles paient pour le loyer, la nourriture», dit Bernhard Busch, inspecteur de la police criminelle de Sarrebruck. À peine deux ou trois proxénètes sont traduits devant la justice à Sarrebruck, chaque année. Pourtant, il y en a des centaines.» Fait rarissime, le loverboy de Kristina a fini par être condamné, à la suite du témoignage de deux de ses "ex". Il doit sortir de prison en janvier. C'est pour ça que Kristina a peur. Appel à l'aide Mais il n'y a pas que les bordels. La prostitution de rue a explosé, elle aussi, dans cette ville frontalière située à moins de deux heures de train de Paris. La mairesse de Sarrebruck, Charlotte Britz, n'en peut plus. Vous traversez la ville, et la première chose que vous voyez, ce sont des prostituées. C'est mauvais pour l'économie, et pour notre image.» La prostitution rapporte des sous un demi-million d'euros par an, selon la ville. Mais les effets négatifs dépassent ces recettes fiscales, selon Mme Britz. La ville vient d'ailleurs d'écrire au gouvernement régional du Saarland pour le supplier de l'autoriser à restreindre la prostitution à certaines rues. De rendre la pratique du métier plus difficile. Pour l'instant, elle attend toujours la réponse...
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la capitale la plus sale du monde